LES ACTIFS LOGICIELS, LIEU-CLÉ DE RÉDUCTION DES COÛTS

ucune organisation ne peut fonctionner sans logiciel ! Ces derniers sont les actifs les plus complexes à superviser, à gérer et optimiser, car ils dépendent en permanence de l’évolution hardware et des mises à jour logicielles. Mardi 15 novembre, la question du SAM (Software Asset Management) était au coeur d’un séminaire animé par aPhely chez Ultimo à Mamer.

Qu’il s’agisse d’infrastructures modestes ou d’hébergeurs, les logiciels restent un facteur des plus coûteux et des plus sensibles. Pour aPhely, l’heure est au SAM, c’est-à-dire à l’optimisation proactive. À la clé, un dimensionnement correct des actifs logiciels pour réaliser des économies qui contribuent directement à une rentabilité de fonds, une réduction des risques financiers et de réputation associés aux audits logiciels et le recyclage éventuel des licences.

«Le SAM permet d’afficher l’efficacité voulue de l’entreprise, mais aussi de fournir des services plus aboutis, de respecter la réglementation relative aux licences et de faire baisser ses coûts tout au long du cycle de vie des licences logicielles, explique Yves Reginster, en charge de la Business Unit SAM de la luxembourgeoise aPhely. La complexité de l’environnement logiciel et la
diminution des ressources qu’entraîneraient des audits signifie qu’il existe des gains et pertes potentiels significatifs.»
La démarche d’aPhely se fait en toute neutralité. Le but n’est pas de s’opposer aux éditeurs, mais d’amener le client à mieux comprendre les mécanismes de conformité des licences pour éviter des pénalités.

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